Les élèves en situation de handicap sont parfois 13 ou 14 dans les dispositifs ULIS des collèges audois, alors que la limite est normalement fixée à 10 élèves.

L’Indépendant du mardi 2 octobre rend compte de la volonté de la FSU de pointer ce problème et de demander l’ouverture de dispositifs ULIS supplémentaires.

 

Le même jour, L’Indépendant publiait également un article qui donnait la parole aux parents d’élèves concernés.

« En élémentaire, les élèves inscrits à ce dispositif sont intégrés en ULIS durant la majeure partie du temps scolaire et basculent en classe ‘‘traditionnelle’’ ponctuellement, en fonction des matières et de leurs progrès », explique Aurélia Malacamp, représentante des parents d’élèves de Jean-Jaurès. « Mais à partir du collège, ces jeunes ne sont que quatre heures par semaine en ULIS : le reste du temps, ils se retrouvent scolarisés dans une 6e normale. Le process est inversé ! » En théorie, ça fonctionne parce que chaque groupe ULIS ne dépasse pas les dix élèves, et qu’un accompagnant spécialisé (AES Co) est censé les assister au quotidien. Mais entre théorie et pratique…

La FSU a également porté cette question lors du CDEN du 2 octobre 2018.

Après la tenue de cette instance, L’Indépendant a publié un nouvel article mercredi 3 octobre :